Quand chimie rime avec· écologie
A partir des feuilles mortes de certaines plantes dites « accumulatrices de métaux » qui poussent sur les sites miniers, il est possible de préparer des composants utiles pour l’industrie chimique. C’est la démonstration que fait actuellement un laboratoire du CNRS présent en Nouvelle-Calédonie en collaboration avec l’Institut Agronomique néo-Calédonien. Sa directrice, Claude Grison, était en visite fin mars sur un nouveau site d’expérimentation sur le Koniambo.
Le Pays numéro 117
Mai 2016
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